"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

vendredi, novembre 04, 2011

RENCONTRESCANDALEUSE
ENTREL'AMBASSADEUR
D'ISRAËLAL'ONU
ETLAPRESIDENTE
DUFRONTNATIONAL
MARINELEPEN
REFUTELESEXPLICATIONS
D'ISRAËLSUR
CETTERENCONTRE

Source : leparisien.fr en ligne
le 4 novembre 2011


La tournée aux USA de Marine Le Pen
marquée
par
une controverse avec Israël


Emmanuel Durand

La présidente du Front national Marine Le Pen a rejeté vendredi à New York tout "malentendu", après sa rencontre la veille avec l'ambassadeur d'Israël à l'ONU, sa première avec un responsable israélien.



La présidente du Front national Marine Le Pen a rejeté vendredi à New York tout malentendu, après sa rencontre avec l'ambassadeur d'Israël à l'ONU, qualifiée de "bourde" à Jérusalem, et qui a été l'un des points forts de sa visite aux Etats-Unis qui se termine samedi.


L'ambassadeur Ron Prosor a commis "un erreur de jugement, une bourde", a affirmé une porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères après cette rencontre, la première de la dirigeante du parti d'extrême-droite avec un responsable israélien.
"Ron Prosor a cru qu'il se rendait à une rencontre organisée par la mission française à l'ONU. Quand il a compris qu'il était tombé dans un piège, il a préféré se retirer en douceur pour ne pas créer de scandale", a expliqué à l'AFP le porte-parole du ministère, Yigal Palmor.

Jeudi soir, la mission israélienne à l'ONU avait déjà évoqué "un malentendu".
"Personne ne peut imaginer une demi-seconde que M. l'ambassadeur se soit trompé de porte", a déclaré vendredi Mme Le Pen à des journalistes lors d'une promenade à Manhattan.
Cette rencontre "suscite évidemment des remous (...) Dans la diplomatie israélienne il y a peut-être deux visions divergentes", a-t-elle ajouté.
"On ne peut pas, pendant 20 minutes, discuter avec Marine Le Pen sans savoir où l'on est", a-t-elle insisté, récusant également "que l'invitation ait eu la moindre ambiguïté".
La candidate à l'élection présidentielle avait jeudi exprimé l'espoir que cette rencontre, à l'occasion d'un déjeuner auquel n'est pas resté l'ambassadeur, permettrait de tourner la page du "détail", référence aux déclarations de son père sur les chambres à gaz. Et elle avait affirmé qu'elle était prête à se rendre en Israël si elle y était invitée officiellement.

Mais à Jérusalem, le porte-parole a réaffirmé la position officielle selon laquelle Mme Le Pen y était "persona non grata", en raison de la notoriété de son père Jean-Marie Le Pen, chef historique du Front national, connu pour ses provocations antisémites.
Au dernier jour de sa visite à New York vendredi, Mme Le Pen s'est promenée dans le sud de Manhattan, posant pour les photographes avec la statue de la Liberté en arrière-plan. Elle a ensuite marché jusqu'à la Bourse de Wall Street.

Mais contrairement à ses projets initiaux, elle ne s'est pas rendue au square Zuccotti, même si elle est passée à une rue seulement du campement des manifestants d'Occupy Wall Street.
"Nous avions pris contact, mais les retours n'ont pas été positifs", a expliqué l'un de ses conseillers Ludovic de Danne.
Mme Le Pen avait également prévu vendredi de rencontrer des "Français de New York" et "des Américains qui veulent me voir".
En quête d'une stature internationale six mois avant la présidentielle, elle a rencontré durant son voyage de cinq jours un des républicains candidats à l'élection présidentielle américaine de 2012, le Texan Ron Paul.
La rencontre, au Congrès à Washington, longtemps incertaine, a été brève, environ dix minutes, précédée d'une longue attente.
Mme Le Pen a également rencontré brièvement un autre élu du Congrès, le républicain ultra-conservateur de l'Illinois Joe Walsh.

Elle s'est rendue au Fonds Monétaire international (FMI), mais c'est sur le trottoir qu'elle a fait son discours, pour dénoncer cet "affameur des peuples".
A New York, les horaires étaient souvent élastiques, les rencontres généralement à huis clos, y compris le déjeuner à l'ONU où elle a discuté avec l'ambassadeur d'Israël.
Le président d'honneur du FN, Jean-Marie Le Pen, a accusé vendredi la France d'avoir "menacé" les ambassadeurs d'Afrique francophone pour qu'ils ne viennent pas à ce déjeuner, où seuls quatre ambassadeurs non francophones se sont présentés.
Mme Le Pen doit s'envoler samedi pour la Floride, dernière étape de son voyage aux Etats-Unis. Les trois rencontres prévues sont toutes à huis clos.

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