"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

samedi, août 28, 2010

ISRAËL
ALESBOULES
Source : israelvalley.com via sudouest.fr
en ligne le 28 août



La Fédération de pétanque d'Israël compte 500 joueurs réguliers, plus 300 autres joueurs. L'Etat Hébreu a accueilli le Championnat d'Europe féminin.


Incroyable mais vrai! Plus de 300 joueurs de pétanque sont en Israël. Ce n’est pas un canular. Lisez ce qui suit : Revue de Presse – "La pétanque n’est pas un sport uniquement francophone. Si, l’an passé comme cette année, le National accueille une délégation camerounaise, la délégation étrangère est également représentée par un jeune Israélien de 23 ans, Noam Seifer. « Il ne parle pas très bien le français, mais il comprend le patois », rigole Alain Ayré, le président du club de Périgueux, qui organise le tournoi.

Pourtant, le jeune bouliste se débrouille très bien avec la langue française. « Je l’ai appris parce que la France est le premier pays de pétanque », explique t-il. Un sport qu’il a découvert très tôt. « J’habitais à Tel-Aviv, et je prenais des cours de piano. Le club de boules était au milieu. Je m’y suis arrêté. J’avais 8 ans. »

Petit à petit, le virus le gagne. Quatre ans après ses débuts, il plonge pour de bon. « J’ai pris la pétanque au sérieux quand j’ai eu 12 ans. À partir de ce moment-là, quand je faisais des compétitions, je me mettais à l’entraînement quatre, cinq mois avant. » Très vite, il trouve sa place dans le paysage bouliste israélien. « Notre fédération ne compte que 500 joueurs réguliers, plus 300 qui participent de temps en temps. Israël n’est pas un pays francophone, donc la pétanque n’a pas le même poids qu’ailleurs. Chez moi, j’étais parmi les meilleurs. »

Pourtant, le pays hébreu fait des progrès. « Récemment, nous avons accueilli le championnat d’Europe féminin. Et une Israélienne a terminé deuxième au tir de précision. » Derrière une Française. Puis vient une rencontre décisive, avec Philippe Tronche, l’entraîneur de l’équipe du Cameroun. « Nous avons fait connaissance il y a six ans, lorsque je travaillais à l’ambassade de France en Israël », révèle ce dernier. C’est lui qui l’a invité à Périgueux.

Il y a un an, Noam décide de s’exiler. « Je parlais français, alors je me suis dit que ce serait une bonne idée de venir découvrir la culture. » Et également de se frotter au gratin des boules. « Je veux m’améliorer », reconnaît-il. Il atterrit à Montpellier, où il s’inscrit en fac de sciences économiques. Puis il prend sa licence au club de Palavas-Les-Flots. Mais les études passent avant tout. « Je dois réussir ma licence, puis mon master, pour pouvoir rester en France. » Alors, en période d’examens, les entraînements se font plus légers. « Sinon, j’y vais quatre à cinq fois par semaine. »

Et les progrès à faire sont clairs : « C’est au niveau mental. En Israël, tout le monde se connaît. Alors on sait comment ça va se passer dans les tournois. Mais ici, on ne connaît personne. Donc je dois apprendre à vite analyser le jeu de l’adversaire. Ça viendra. » Il va pouvoir tester ses progrès dès aujourd’hui. « Le terrain à l’air technique, j’aime bien. On voit vraiment qui est capable de maîtriser. »




Source:
http://www.sudouest.fr/2010/08/27/noam-en-terre-promise-170316-8.php

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