"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

jeudi, août 27, 2009

DIFFICILEPARTIE
POURNETANYAHU
ENEUROPE
Source : europenews.net en ligne le 27 août




Le dilemme de Benjamin Netanyahu


Benjamin Nethanyahu a des raisons de se montrer hésitant sur les conditions de relance du processus de paix israélo-palestinien, malgré la pression internationale de plus en plus croissante: avec Barack Obama en mai, tout comme avec hier à Londres l‘émissaire nord-américain George Mitchell ou le Premier ministre britannique, Benjamin Netanyahu a évité de s’engager sur un gel définitif de l’expansion des colonies.


Une condition essentielle
pour les Palestiniens.

Hier, l’un des alliés d’Israël, le président français Nicolas Sarkozy, était on ne peut plus clair avec l’Etat hébreu : “Je souhaite que la rencontre aujourd’hui même entre le Premier ministre d’Israël et l’envoyé du président des Etats-Unis débouche. Débouche sur quoi? Chacun connait mon amitié pour Israël mais je le dis comme je le pense, débouche sur le gel précis et complet de la colonisation”.

Une délégation internationale composée de personnalités comme l’ancien président Jimmy Carter ou le prix Nobel de la paix Desmund Tutu s’est rendue hier à Jérusalem pour soutenir la reprise du processus de paix. Ils ont été reçus par un Shimon Peres assez vague lui aussi.

“J’entendais hier M. Netanyahu qui disait que les palestiniens devaient reconnaitre Israel en tant qu’Etat juif, mais il aussi ajouté qu’Israël reconnaitra la Palestine comme Etat arabe. Le discours d’origine des Nations unies en 1947, c‘était deux Etats, un Etat arabe et un Etat juif.”

Mais le dirigeant israélien est tenu au grand écart du fait même de la composition de son cabinet de coalition. Le dossier des colonies est à haut risque pour l‘équilibre de son gouvernement, entre travaillistes au ministère de la Défense et extrême droite au ministère des Affaires étrangères, inflexible face à la pression internationale.

Les travaillistes exigent depuis plusieurs semaines que le gouvernement expulse les habitants de 23 colonies illégales en Cisjordanie, une décision régulièrement différée depuis 8 ans… De quoi mieux comprendre les petits pas du Premier ministre israélien dans un dossier décidément bien délicat.

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