"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma  Ed Universlam


CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions
Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE
de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

dimanche, novembre 30, 2008

QUESTION/REPONSE
DUJUDAÏSMEFACE
ALAVIOLENCEHUMAINE
Source : le site du Mouvement Habad
en ligne le 30 novembre


TERRORISME A BOMBAY


Quelle est notre réponse à ce massacre ?



Une réponse à la question « pourquoi ? »
par Tzvi Freeman


Cher Rav Freeman,

Je ne peux pas l’admettre. Voilà un jeune couple, avec un petit enfant, qui a laissé derrière soi familles et amis pour vivre dans un pays lointain, dans le seul but d’aider à y construire la communauté juive. Savez-vous combien de jeunes ils ont sauvé de la drogue et de la prison ? Est-ce là leur récompense ? Est-ce là la protection que D.ieu leur offre ?
--S



Cher S,

Nous souffrons tous. Nous sommes tous sous le choc. Mais vous posez des questions auxquelles vous savez ne pas pouvoir répondre. Pourquoi ? En quoi cela va-t-il aider qui que ce soit ? Ce dont nous avons besoin maintenant, c’est de force et de courage. Ce qu’il nous fait maintenant, c’est nous rassembler et reconstruire.
Nous savions à l’avance que nous sommes en guerre contre un ennemi. Nous savions que le monde a besoin de guérison, qu’il suinte d’une obscurité venimeuse, et que ces ténèbres ne vont pas rester passives alors que nous dissipons leur règne. Nous savions que plus nous combattons cette obscurité, plus dur elle frappera en retour. Nous n’avions pas d’illusions. Nous avons décidé de nous battre et nous vaincrons. C’est pourquoi Gavriel et Rivky sont allés là où ils sont allés. Ils ne sont pas partis en touristes, mais en soldats courageux.

Lorsque vous êtes en guerre, vous ne vous arrêtez pas pour tout soupeser à nouveau : pouvons-nous seulement gagner ? Cela en vaut-il la peine ? Peut-être sont-ils pires que ce que nous pensions ? Une telle attitude est mortelle. Si vous préfériez rester chez vous et profiter du confort alors que le reste du monde est dehors dans le froid, il fallait décider cela il y a bien longtemps. Maintenant vous êtes ici, dans le champ de bataille, vous avez déjà réveillé l’ours dans sa tanière, vous ne pouvez plus reculer.
Ils sont les ténèbres. Nous sommes la lumière. Ils débarquent avec la mort dans leurs yeux. Nous venons enseigner la compassion et des actes bienveillants. Ils portent des fusils d’assaut et des grenades. Nous portons des bougies de Chabbat, une Torah de sagesse, de joie et de beauté.
Devons-nous plier devant eux ? Devons-nous nous arrêter, pleurer et dire « peut-être livrons–nous la mauvaise bataille ? »

Ce samedi soir, un jeune couple quitte Israël pour prendre la place de Gavriel et Rivky. Nous, nous tous, allons les aider. Le Beth ‘Habad de Bombay avait cinq étages. Nous allons construire un Beth ‘Habad de dix étages à Bombay, avec encore plus de lumière, plus de joie et encore plus de voix chantant les chants du Chabbat et d’enfants embrassant le rouleau de la Torah. Nous allons construire et ce sera notre vengeance. Nous allons remplir ce monde avec lumière et sagesse et l’esprit d’impureté dans le cœur des hommes périra à jamais. Ils viennent avec leurs armes et leur force, avec un dieu de destruction et de terreur, mais nous venons au nom de l’Éternel, la source de toute vie et de toute guérison. Eux et tout souvenir d’eux disparaîtront de la surface de la Terre et notre flamme brûlera éternellement.

Puisse le D.ieu Tout-Puissant entendre le cri de leur sang qui s’élève depuis la terre et mettre un terme à toute peine. Puisse cela avoir lieu bientôt, plus tôt encore que nous ne pouvons l’imaginer.

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