"LES MUSULMANS ET LE SEXE" de NADER ALAMI Editions GUMUS

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Recueil de Poésie en Hommage à Jenny Alpha

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Couv "LES PLEURS DU MÂLE" Recueil de Slams d'Aimé Nouma Ed Universlam

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CAMILLE CLAUDEL Naissance d'une vocation parJeanne Fayard Rivages Editions

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Sortie en librairie début mai 2013

A LA RECHERCHE D'UNE MEMOIRE PERDUE

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de GISELE SARFATI Editions PLUMES et CERFS-VOLANTS

dimanche, septembre 28, 2008

LESUSA
RETIENNENT
ISRAËLCONTRE
UNEATTAQUE

CONTRELIRAN
Source ; la newsletter d'Infolive.Tv distribué
le 27 septembre


Un journal britannique annonce
l'opposition de George Bush
à une attaque israélienne en Iran.



Le Président américain sortant George W. Bush aurait refusé de donner à l'Israël son accord pour lancer une attaque militaire sur l'Iran. Il aurait informé le Premier ministre sortant Ehud Olmert de sa décision lors d'une réunion durant sa visite en Israël à l'occasion du 60e anniversaire de l'indépendance israélienne qui a eu lieu au mois de mai cette année.
Le journal britannique "The gardian" a rapporté ce vendredi que la raison de l'opposition des Etats-Unis se porte principalement sur l'inquiétude d'une probable revanche iranienne à l'encontre de nombreuses cibles américaines et israéliennes dans le monde. De plus, les Américains restent inquiets quant aux capacités d'Israël à détruire l'attirail nucléaire iranien.
Selon ce rapport, l'ensemble de l'attirail nucléaire et les sites nucléaires connus opérant en république islamique se trouvent à Isfahan, Arak, Ardkan, Karaj, Natanz, Anarak et Bushehr. L'uranium est extrait à Saghand et à Yazd.

Le journal prétend que la décision de George W. Bush de ne pas soutenir une attaque sur l'Iran semble être basée sur deux facteurs. Le premier, l'inquiétude des Américain d'une probable revanche iranienne qui prendrait pour cible les bases américaines d'Irak et d'Afghanistan mais aussi les troupes se trouvant dans le golf persique. Le deuxième facteur reste le doute quant aux capacités des forces armées israéliennes de détruire l'attirail nucléaire iranien. En effet, même si Israël utilisait des douzaines d'avions, ils ne réussiraient pas, en une attaque à détruire les sites nucléaires de l'Iran. De plus, Israël ne peut effectuer une série d'attaque sur plusieurs jours sans risquer une guerre de grande envergure. Finalement, "le jeu n'en vaut pas la chandelle".
L'article rapporte que même si Israël reçoit l'aval de Bush pour lancer une attaque militaire, ses avions ne pourront pas toucher des sites iraniens sans l'aide des États-Unis en cours de vol. L'article cite des responsables qui affirment que le trajet le plus court vers Natanz reste le passage par l'Iraq et les Etats-Unis ont le contrôle total de l'espace aérien iraquien.
Le journal a rappelé que le 2 juin, Israël a effectué un exercice aérien de grande envergure couvrant des centaines de kilomètres à l'Est de la Méditerranée. Il a impliqué des douzaines d'avions militaires, dont des F-15, des F-16 et des avions de ravitaillement aérien. Selon un responsable américain, l'envergure et les conditions de cet entrainement ont confirmé ce que les Etats-Unis et d'autres nations de la région ont pu voir: la distance effectuée lors de cet exercice est égale à la distance entre Israël et le site de Natanz.

Quelques jours plus tard, le député Shaul Mofaz, a déclaré lors d'une interview que si l'Iran continue son programme de développement d'armes nucléaires, Israël attaquerais. Selon lui, les opportunités de négociations sont terminées. Les sanctions ne sont pas efficaces et il n'y aura aucune autre alternative que d'attaquer l'Iran afin d'arrêter son programme nucléaire. Par ailleurs, l'article précise que les États-Unis ont annoncés il y a deux semaines qu'ils vendraient 1,000 bombes anti-bunker à Israël. Cette action a été interprétée par certains analystes comme un prix de consolation pour Israël.
Malgré le refus américain annonce dans le journal "the gardian", ce jeudi, le chef du Parti travailliste et Ministre de la Défense Ehud Barak a déclaré que toutes les options restaient ouvertes en faisant allusion au développement nucléaire de l'Iran.

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